C791
Très petit réseau, bien rangé et propre, mais dont le noyage visible dés l'entrée empêche la progression vers les niveaux inférieurs. Le site n'est composé que d'une seule chambre d'exploitation et permet de bien visualiser l'inclinaison du banc d'ardoise.
Ce genre d'ardoisière, c'est à dire, très peu développée en terme de taille, est globalement très répandu et permet de bien se familiariser avec tout ce que l'on va voir par la suite.
C791-2
Cette ardoisière s'étale sur un niveau : une galerie de roulage située à un niveau inférieur rejoint au fond une cheminée, qui donne dans un réseau supérieur légèrement plus développé. L'état préoccupant du site laisse voir notamment une belle galerie de forme triangulaire.
Même si les galeries sont assez esthétiques et bien construites, ca craint quand même !
Ce tuyau sortant du sol est la jonction entre le réseau du bas et du haut.
C792
Bien cachée cette ardoisière possède un certains charme qui nous a plutôt bien étonné. Malgré un accès compliqué l'intérieur se révèle être plutôt intéressant avec une chambre assez grande et régulière, qui semble avoir été taillée au cordeau. Rectiligne, l'exploitation s'est aussi poursuivi sur au moins un niveau inférieur.
On voit clairement l'inclinaison du banc. Dans cette chambre il y a un départ vers un plan incliné donnant sur des niveaux inférieurs. A notre niveau une poche a d'ailleurs été taillée dans la masse, sans doute pour accueillir un treuil.
En allant vers le fond, la galerie change de forme, d'une part dans le creusement, elle devient plus large et moins haute, mais aussi par son état, on y voit la pression des terrains qui font exploser les murs. Il faut dire que le banc d'ardoise est de mauvaise qualité à cet endroit. Tout au fond un escalier, permettait sans doute de rejoindre les niveaux inférieurs vus précédemment mais aujourd'hui ce n'est plus possible.
C771
Ce premier réseau, est une galerie rejoignant l'ardoisière voisine. Ca c'est pour le côté facile. Il semble qu'elle s'enfonçait un peu plus loin mais c'est aujourd'hui complètement effondrée.
La galerie est à taille humaine légèrement plus basse et plutôt étroite. Au vu de l'état actuel nous nous sommes demandés pourquoi sommes nous allés toucher le fond ? En effet, la galerie est sans intérêt, elle est soutenue par des boisages complètement décomposés qui eux mêmes, soutiennent le remblaiement en couronne. Et quand il n'y a pas de boisages, on ne prend pas le temps d'admirer, car les plaques d'ardoises sont tellement décollées ou fracturées que l'on se demande comment tout tient encore ? La dernière photo montre a quel point la galerie est déformée. A peine rentrer que nous en sommes ressortis, véritablement mal à l'aise !
C771-2
La très belle entrée est taillée en triangle dans la masse et s'élargit quelques mètres plus loin. Elle dessert plusieurs chambres, qui sont exploitées vers le bas mais qui sont en partie remblayées de stériles, soutenues par des hagues elles mêmes renforcées par quelques consolidations métalliques, dans le meilleur des cas.
C770
Cette ancienne ardoisière donne directement sur une galerie inclinée noyée. C'est dommage car on distinguait encore un bout de voie ferrée qui pouvait être prometteur. Un pompage semble avoir été installé après l'exploitation mais il ne marche plus depuis longtemps.
C774
Cette importante ardoisière est sans doute la plus grande que nous visitons car elle s'étend sur plusieurs niveaux qui selon nous étaient connectés auparavant. Les niveaux s'inclinent vers le sud, mais ils sont soient rapidement noyés soient dans un état catastrophique. Nous visitons trois niveaux sur sept. Le site, devenu très industriel est par la suite exploité par un plan incliné depuis le premier niveau vers ceux inférieurs afin d'aller chercher une ardoise de meilleure qualité.
L'esthétisme des galeries est poussé au maximum dans le rangement des stériles de même que pour la forme pentagonale de la galerie. Cette forme est naturellement faites pour épouser au mieux l'inclinaison de la couche et la supporter sans avoir besoin de consolidations.
La galerie débouche dans une première succession de chambres encore accessibles. Celle-ci à la particularité d'être également en connexion avec les niveaux inférieurs par l'intermédiaire d'un plan incliné. Les voies passaient alors au dessus comme on peut le voir.
Les chambres ont des dimensions plutôt grandes mais elles sont en partie encombrées de stériles.
Une fois que les chambres ont été exploitées, elles sont en général remplies de stériles. On garde alors uniquement un espace de circulation, pour la continuité de la galerie. Les chambres sont fermées par des hagues dont on conserve un accès à taille humaine.
Une majorité de chambres ne sont plus visibles pour plusieurs raisons : soit la hague n'a pas tenue et donc la galerie n'est plus accessible, soit la chambre a été entièrement remplie de stériles. Souvent en regardant au dessus de sa tête on observe des situations préoccupantes que l'on aurait aimé de ne pas voir.
Quand cela est possible les niveaux sont connectés, soient par des escaliers soient par des échelles.
Cette architecture se retrouve à tous les niveaux.
Quand on peut finalement descendre, il faut bien se coller à la paroi ! On ne se rend pas bien compte mais c'est bien incliné !
Par escalier, il faut plutôt comprendre que des marches ont été taillées dans la paroi.
Au fil du temps, les hagues s'inclinent dangereusement à cause du poids des stériles, cela donne des galeries aux formes fluctuantes assez jolies mais plutôt angoissantes.
Ce mur ferme la galerie principale car la hague s'est effondrée un peu plus loin.
Dans ces vieux quartiers peu de chambres sont visibles, néanmoins les stériles sont rangés en "marches d'escalier".
Nous voila revenus au niveau de tout à l'heure. Plus nous progressons, plus les chambres sont grandes ici nous voyons un beau front de taille. Cette fois la galerie s'arrête pour de bon, il faut faire un choix et nous ne l'avons pas : il faut de nouveau descendre !
Certains chambres sont gigantesques.
Cette grille était positionnée près d'une entrée, elle n'est plus du tout accessible.
Sur le retour nous croisons un ancien puits qui débouche en extérieur et plus loin donc sur le grand plan incliné qui entaille la couche en profondeur. Dans sa première partie il est accessible au personnel par un escalier et permet de rejoindre la première galerie de niveau. Au centre se trouve le monte charge qui est mis en mouvement par un treuil se trouvant à l'extérieur.
En dessous une vue donne sur le bas du plan incliné qui plonge dans l'eau aux mille couleurs verdojaunâtre. C'est le mot de la fin !
C777
Cette ardoisière ressemble étrangement à la précédente, mais en beaucoup plus petite. Elle s'ouvre en deux entrées dont l'une est partiellement inondée et dans un état assez critique, que nous n'avons pas visitée.
Dés le début c'est très beau.
Mais c'est tout de même assez petit. Il reste encore une belle masse d'ardoise à exploiter
C827
Cette ardoisière s'ouvre dans le lit d'un ruisseau et a été exploitée tout le long. Il se trouve une chambre immédiatement en face de l'entrée et une galerie qui part de chaque côté. Il semble qu'au moins un niveau inférieur ait été exploité mais sans être sûr.
Au vu du peu de recouvrement un puits a percé le haut de la grande chambre.
C769
Il s'agit d'une très grande ardoisière exploitée en souterrain et reprise en partie à ciel ouvert qui est toujours en activité. Le site a la forme d'un long rectangle dont la schistosité est orientée Sud-Est vers le Nord-Ouest. L'exploitation souterraine s'arrête dans les années 1960.
Le niveau le plus bas est sans doute le plus ancien, il représente aujourd'hui une longue galerie de roulage qui récolte par le biais de quelques trémies les chantiers supérieurs, mais aussi les quelques chambres déjà accessibles à ce niveau. Il reste encore pas mal de vestiges, notamment ferroviaire dans les galeries.
On ne vous dit pas à quoi servait ces "boites" (Cf : dernière photo) on vous laisse trouver par vous même !
Les galeries sont souvent bien consolidées comme en témoignent ces cintres voûtés et parfois carrés.
Les niveaux supérieurs sont accessibles par endroits par des puits au moyen d'échelles. Malheureusement cela donne souvent dans des chambres complètement effondrées. D'autres puits, équipés de tôles, sont des puits de jets.
Nous touchons le fond, les galeries changent un peu, elles sont moins larges mais encore équipées de voies.
Nous suivons alors de grosses conduites qui devaient servir pour l'exhaure. Quand il n'y a pas la place celles-ci sont suspendues. A proximité nous trouvons une conduite traversant la galerie verticalement et semblant être encore en activité, peut être pour un pompage.
Il reste encore quelques vestiges intéressants, comme cette pelle Eimco, cette luge pour le transport de matériel ou ce gros tombereau basculant dont on voit le manche à bascule.
Il y a des vestiges un peu partout en fait !
Sans le savoir nous revenons vers l'entrée où nous allons découvrir la gare. Cette galerie est entièrement cintrée et par endroits parés par des plaques d'ardoises. C'est assez esthétique on ne voit pas cela souvent.
Une dizaine de wagonnets attendent ici pour l'éternité. Ce sont des modèles plus classiques type Orenstein Koppel à benne basculante, mais au fond moins classique se trouve encore une belle locomotive qui ne roulera plus jamais.
En parallèle, à la gare, se trouve une trémie qui récoltait les produits venant d'un niveau supérieur et le déversait sur une bande transporteuse, qui filait vers la sortie.
Cet embranchement était une sorte de dispatch et nous comprenons alors, qu'auparavant les wagonnets venaient vider leur chargement ici au niveau d'un quai, après la mise en exploitation des niveaux supérieurs, l'ardoise ne sortait plus que par bande transporteuse.
C795
Cette ardoisière semble être le réseau ancien d'un ensemble plus vaste. On ne pourra pas bien juger car au bout de la galerie d'entrée de 100m nous tombons directement sur un puits incliné à contre sens. Le mystère restera encore entier !
C794
Et donc sans mystère (cette fois) voici le réseau moderne.
Les premières galeries sont bien inondées et on peut voir que le niveau est même monté bien plus haut !
Un premier croisement donne sur une galerie voûtée qui permettait d'accéder à une chambre.
A certains endroits de la galerie de roulage, la chambre est directement visible.
Il n'y a finalement plus d'eau vers le fond, la galerie continue, elle est taillée dans la masse sans nouvelle chambre avant qu'elle ne s'arrête sur un effondrement.
On a bien conscience qu'il semble y avoir un niveau supérieur mais nous n'arriverons pas à monter.
C796
Cette ardoisière est une succession de chambres verticales avec au centre une galerie de roulage. Une partie des chambres sont noyées, on a du mal distinguer la profondeur mais il y a du volume. Heureusement une bonne partie est aussi hors d'eau. Cela change de tout ce que l'on a déjà vu, c'est bien plus moderne et rectiligne et pour autant assez stable.
La galerie de roulage est au niveau actuel du noyage. On alterne entre chambres sèches et complètement noyées dans un bleu azur profond.
Bien que noyées ces chambres ont des dimensions très importantes.
De l'autre côté, les chambres s'enfoncent encore plus profondément et on ne distingue pas précisément le fond. On doit bien approcher les 40m. La couche est quasiment verticale. D'abord exploitée à ciel ouvert, l'ardoisière s'est rapidement poursuivie en souterrain sur plusieurs niveaux. Devenant de plus en plus grande et profonde, un long puits remontant en surface à été creusé (première photo).
En suivant la galerie de roulage nous découvrons les immenses chambres juxtaposées les unes aux autres qui sont devenues aujourd'hui de belles piscines. Les dimensions ainsi que l'aspect très régulier de la taille font de ces chambres les plus belles que nous ayons vues.
L'entrée monumentale est la conséquence de deux chambres superposées qui ont été recoupées, cela donne des dimensions impressionnantes !
C799
Cette carrière est ouverte pour l'extraction d'ardoise mais également de coticule dont quelques veines traversent le gisement.
Pour rappel, le coticule est une pierre métamorphique c'est un shiste siliceux dur et à grain très fin parfois chargé en petits grenats connu dans les séries paléozoïques métamorphisées et utilisé comme pierre à aiguiser
. De ce fait on l'appelle également "pierre à rasoir".
Le coticule se présente en fines couches appellées veines épaisses de quelques centimètres de couleur jaune ocre à jaune clair pour les variétés les plus pures.
Si les terrains ardoisiers présentent parfois une épaisseur de plusieurs mètres, la couche de coticule ne dépasse pas les 2 à 3cm.
La singularité du coticule résulte de la présence d'un grenat particulier : la spessartine qui est caractérisée par la présence du manganèse et d'aluminium dans sa structure. Les proprietés abrasives singulières du coticule sont liées à plusieurs critères qu'il convient d'associer. Le paramètre déterminant est lié à la présence et à l'abondance du grenat spessartine, minéral doté d'une dureté de 7 (sur 10) sur l'échelle de Mohs. Sa dureté est supérieure à celle de l'acier. Les meilleurs coticules correspondent à une teneur en grenat élevée de 20 à 40%.
Au fond se trouve une belle veine de coticule.
Une voie ferrée nous accompagne du début jusqu'à la fin, tout semble être resté figé tel quel. Il y a également le tuyau d'air comprimé, quand celui-ci n'est pas posé directement au sol maintenant.
Une petite chambre est visible sur un côté qui semble s'échelonner sur un niveau supérieur qui serait un ancien puits. Au sol il reste les vestiges d'un treuil
Une galerie nous emmène au niveau inférieur où se trouvait une autre entrée mais celle-ci s'est effondrée, à un carrefour se trouve un empilement de stériles avec une sorte de niche au centre. Cette longue galerie est jonchée de stériles sur tout un côté, c'est assez esthétique.
Quand la galerie est entièrement recouverte de déchets, on rajoute des tôles au ciel pour "vous faire croire que cela tient mieux" mais ce n'est pas vrai !
Les wagonnets étaient tirés par des treuils dont un modèle subsiste dans la galerie principale, il se trouve également des rouleaux de renvoi du câble au niveau du sol.
Cet autre treuil est celui au niveau de l'entrée, il est surélevé pour laisser passer les wagonnets en dessous, des renforts en béton plus modernes sur les côtés, ont fait leur apparition afin de soutenir l'entrée.
C800
Il s'agit d'une petite exploitation on y accède par une longue galerie de roulage, celle-ci permettait également de relier l'exploitation voisine par un travers banc, mais celle-ci n'est plus accessible aujourd'hui, tout s'est effondré.
C798
Cette très petite ardoisière, anciennement accessible par deux galeries de roulage de plus ou moins 200m de long, amenait autrefois directement dans une vaste chambre d'exploitation. Une partie est encombrée de déchets et bloque l'arrivée de la seconde galerie de roulage, l'autre zone a été utilisée pour l'exploitation des niveaux inférieurs par l'intermédiaire d'un puits vertical surmonté d'une jolie construction en pierre, formant un beau chevalement.
Figé depuis plus d'un siècle, se tient ici un très beau vestige daté de 1926. L'ouvrage est construit en blocs de schistes paré d'une tôle qui lui sert de toit et d'une armature métallique qui forme le puits. Il se compose d'une cage qui permet le transport d'une seule berline, celle-ci est mis en mouvement par un système de poulie, et d'un treuil, qui est légèrement visible au dessus. Le chevalement est percé par deux ouvertures, l'entrée et la sortie, des berlines.
La berline est de type benne basculante, ressemblant fort aux modèles Orenstein Koppel. Le châssis est carré et la benne beaucoup plus évasée.
Un sous niveau est accessible quelques mètres en dessous par l'intermédiaire d'un escalier tout en ardoise. Mais plus bas, tout est entièrement noyé aujourd'hui.
On distingue bien les deux rails de guidage et une sorte de faux-carré qui entoure le puits en rondins de bois, bien caché au fond, se distingue encore des échelles pour la remonte.
C801
Les premiers quartiers, très anciens et bas, sont pour la majorité envahi de déchets, il faut descendre plus profondément pour arriver dans des chambres de grands volumes, plus récentes. D'ici plusieurs travers bancs ont été creusés et on navigue alors d'une chambre à une autre. La pierre était remontée directement par un plan incliné mais celui-ci n'est plus du tout accessible ni visible aujourd'hui.
Ici on peut bien observer l'inclinaison de l'ardoise. Par endroits (cela ne rend pas aussi bien qu'en vrai) des blocs ne tiennent uniquement parce qu'ils reposent sur d'autres qui eux mêmes reposent sur d'autres...Et quand ca tombe, ca tombe en gros. Cette galerie inclinée (Cf: Dernière photo) derrière le boisage, permet de remonter directement à notre point de départ.
Nous finissons par découvrir cette galerie magnifiquement consolidée avec des cintres en voûte brisée dont on avait encore jamais vu ce type. Malheureusement au fond, arrêté par l'eau, il semble que la galerie soit effondrée.
C802
Un long travers banc débouche finalement sur un préambule de galerie où se trouve : un lit, des planches et du bazar en vrac, la carrière ayant sans doute servi d'abri durant l'une des guerres. Mais aussi une salle des machines où devait se trouver un compresseur d'air et un système de pompage.
Juste au dessus du départ de cette première galerie (Cf: Première photo), de beaux remblais en couronne qui ne demandent qu'à tomber à notre passage mais qui sont encore bien retenus (le temps de notre visite) par de gros boisages détrempés. On respire fort et on continue la visite.
En poursuivant on entre dans ces grandes chambres spacieuses, ici une grue est encore présente en plein milieu. Elle permettait sans doute de charger les wagonnets ou de déplacer les blocs. La chambre est à la limite du noyage dans un décor surréaliste.
Les chambres se suivent, en voici une seconde, moins développée que la précédente elle bute au fond sur les derniers travaux, une poulie et des tirants sont encore visible sur les murs : on comprend alors que l'on arrachait entièrement la paroi en un seul coup d'extraction ! Encore une fois on voit très bien l'inclinaison de la veine.
Un effondrement qui dégueule sur une belle hague de stériles. Ici les stériles sont rangés à la verticale.
Nous revenons au début où nous visitons un autre secteur, nous découvrons une énorme chambre aux dimensions incroyables, on a jamais vu cela (non mais c'est vrai !). L'extraction a été intense, les ouvriers ont même pris le soin de boulonner les parois quasiment jusqu'en haut, mais cela n'a pas empêché un bloc immense de se détacher et de se figer à la verticale. Nous donnons l'échelle dans cet incroyable vide qui nous ébahi. En haut de cette chambre se trouve une amorce de galerie plus "contemporaine". Malgré la quantité de déchets au sol, il reste encore énormément d'ardoise à extraire.
En contrebas de la chambre se trouve également une grue (petit modèle) et un treuil dont le câble est encore accroché à une poulie, et devait permettre de ramener les blocs. Nous terminons en prenant cette galerie où il reste encore le tuyau d'air comprimé qui nous ramène à la salle des machines et donc vers la sortie.
C804
Nous terminons la visite avec ce minuscule bout de carrière exploitée à flanc de coteau sur un niveau et dont seules les lumières froides de l'hiver rendent ce lieu intéressant, lors de notre passage.
Ces photos nous rappellent de bons souvenirs glacials ;)