Charbonnage d'Argenteau-Trembleur
Année : 1779 - 1980 (31 Mars 1980)
Le charbonnage est situé à Blégny, au Nord-Est de Liège dans l'Avant-Pays de Herve. Il est installé en pleine campagne à une centaine de mètre au dessus du niveau de la Meuse. A cet endroit, les couches de minerai sont peu profondes, voire même affleurantes par endroit, on a exploité un charbon riche, l'anthracite, sur plusieurs veines d'une épaisseur variable de 30cm à 1m, dont la plupart sont inclinées.
On a commencé l'exploitation charbonnière dés le 16ème siècle, ce sont les moines de l'Abbaye de Val-Dieu, alors propriétaire du terrain, qui sont les premiers à faire creuser le sol, la première concession, Trembleur, est accordée à Gaspard Corbesier en 1779. Elle est ensuite raccordée à sa voisine d'Argenteau en 1883. Les deux concessions totalisent 879ha.
Malheureusement en 1887 la société est mise en liquidation et pendant 30 ans toute l'activité cessera. En 1919, Charles de Ponthière et Alexandre Ausselet fonde une nouvelle société charbonnière : la Société Anonyme des Charbonnages d'Argenteau Trembleur, est crée. Malgré une production grandissante (10 000t/an), elle sera stoppée par la Première Guerre Mondiale et remontera doucement en 1931 (84 000t/an).
La Seconde Guerre entraîne la destruction du puits 1 et du lavoir, toute l'extraction se fait par le puits Marie à une cadence beaucoup plus faible. De 1942 à 1948 le puits 1 et le triage-lavoir sont reconstruits en béton. En 1970 le charbonnage atteint sa capacité maximale de production avec 232 000 tonnes de charbon avec 680 mineurs.
En 1975, le Comité Ministériel de Coordination Économique et Sociale, décide l'arrêt des subventions envers les charbonnages Wallons. A Liège les charbonnages ferment les uns après les autres. Peu avant sa fermeture définitive, en 1980, il avait été convenu de conserver le site, il est alors racheté par la Province de Liège et seulement deux mois après sa fermeture, il est ouvert au public. Le puits 1, toujours fonctionnel, permet de visiter à -30m et -60m les anciennes galeries accompagné d'un mineur et de découvrir, à la remontée, l'étage de la recette.
Le site accueille également depuis 2003, le CLADIC (Centre Liégeois d'Archives et de Documentation de l'Industrie Charbonnière) qui regroupe toutes les archives sur les mines liégoises.
Le siège d'Argenteau est le dernier à avoir fermer dans le Bassin de Liège, le 31 mars 1980. Les deux puits sont noyés à la profondeur de -170m aujourd'hui, et protégé par un bouchon de béton.
Plusieurs puits ont été foncés, précédent ceux du site de Blegny :
- Le puits des Trois Frères (Trembleur)
- Le puits Urbain (Saint-Rémy)
- Le puits Bouhouille (Saint-Rémy)
Sources :
- Blegny-Mine
Je tiens à remercier l'équipe de la Mine de Blegny qui nous a accueillis et permis de faire ses photos. Je pense particulièrement à Michel, pour sa gentillesse, sa simplicité et son extrême envie de nous faire partager son monde, ses anecdotes et son passé de mineur. Toutes les photos dans les bâtiments ainsi que dans les galeries souterraines sont en conformité avec la politique de Blegny-Mine ASBL et la charte de ce site. Merci donc de les respecter et de ne pas les utiliser de quelconque manière que se soit.
Le site de Blegny-Mine est ouvert au public, plus d'informations sur le site officiel Blegny-Mine
Blegny-Mine ASBLRue Lambert Marlet, 23
B-4670
BELGIQUE
Une vue globale du site avec le triage-lavoir, le puits 1, le terril en fond et le puits Marie (à peine visible) au bout de la route.
En attente d'un nouveau triage-lavoir, un triage manuel est installé sur le site. Le triage-lavoir terminé en 1946, il est agrandi en 1948, puis en 1956 (Evence-Coppée). Le triage se fait d'abord à l'argile, puis à la magnétite (1956). En 2000 il est restauré.
La tour d'extraction du puits 1 est foncé dés 1920 reléguant ainsi le puits Marie à un puits d'aérage. Il atteint la profondeur de -530m. En 1940, en pleine Seconde Guerre Mondiale, l'armée belge détruira la tour d'extraction afin d'éviter que celle-ci ne tombe aux mains des Allemands. Elle est finie d'être reconstruite en Mai 1944. Elle est équipée avec une poulie Koepe.
Nous remontons directement à la recette berlines (recette +12) avant de terminer le reste à pied vers la machine d'extraction.
Il n'y a pas à dire c'est une belle machine et encore en état de marche, la seule en Belgique.
Derrière les contrepoids se trouve la molette de contrainte.
Nous voilà revenu à la recette des berlines (+12m) côté décagement.
A noter que la recette sera couverte qu'à partir des 1970, avant elle était à ciel ouvert.
C'est ici que les wagonnets sont vidés, soit par un culbuteur, soit directement dans une trémie pour les wagonnets qui sont équipés de trappe permettant l'ouverture du bas de leur caisse.
Les pierres et le charbon sont triés, les pierres partent vers la mise à terril, et le charbon vers le triage.
A la remontée, le charbon souvent mouillé, restait collé au fond des wagonnets, et il en résultait une capacité de chargement moindre à la prochaine remontée. Un nettoyeur à wagonnets, qui permet de vider complètement le wagonnet est installé en 1964.
Le triage est effectué manuellement, on élimine les derniers stériles (Cf: Wagonnet, situé sous le triage), puis le charbon est calibré et tombe dans ses énormes trémies (Cf: Trémies).
Au triage, le charbon est trié en fonction de sa granulométrie. On distingue les 0-6 mm, 6-12mm, 12-22mm, 22-30mm, 30-50 mm.
Le charbon est ensuite élevé par des norias pour y être lavé.
En 1966 une essoreuse est installée au lavoir.
Merci à Michel, notre guide, et aujourd'hui l'un des derniers mineurs existants.
Puits Marie
Le puits Marie l'Espérance est fonçé en 1849, il atteint la profondeur de -236m. Les 60 premiers mètres furent creusés à la main.
Le puits aurait été nommé selon la fille de Gaspar Corbesier, Marie.
Le bâtiment du puits Marie accueille aujourd'hui un musée où l'on pourra découvrir le puits, la lampisterie, la salle des compresseurs, les ventilateurs, les douches, bureaux et l'infirmerie.
Cette machine permet de découper les futurs étançons de bois pour étayer la mine.
Une nouvelle mise à terril est construite à partir de 1943, elle est équipée de skips. Un second terril est alors entrepris, en partie sur l'ancien..
Charbonnage du Bas Bois
Année : 1860 - 1970 (Octobre 1970)
Compagnie : SA des Charbonnages du Hasard de Micheroux
Le charbonnage du Maireux est sans doute le plus ancien charbonnage, un document indique qu'en 1580 on autorise l'exploitation d'une concession sur un terrain avoisinant, il est alors exploité par la famille Crahay. Mais c'est véritablement dés le 19ème siècle, pendant l'essor de la révolution industrielle, que la petite société familiale va prospérer. En 1835 la Société civile du Maireux-Bas Bois est crée, puis en 1860 elle devient SA des Charbonnages de Maireux et Bas Bois. Finalement en 1930 elle est rachetée part la société du Hasard.
En 1860 donc, la société commence le fonçage d'un nouveau puits d'extraction sur le site du Bas Bois, on creuse sans interruption jusqu'à -350 mètres, mais c'est à -242 que la veine Fecher est reconnue et c'est celle-ci qui sera exploitée. On creuse également un autre puits qui servira de ventilation. On construira également par la suite : ateliers, centrale électrique, forge, salle des machines, bureaux, lampisterie, réfectoire, dortoir et douches.
Avec le rachat par la société du Hasard, le réseau de galerie est connecté, le minerai est alors ressorti directement sur le site du Hasard, le puits du Bas Bois ne sert plus alors, qu'à la descente et remontée des hommes.
Sources :
Le site est classé depuis 1992 et à fait l'objet d'une complète rénovation.
Les puits sont visibles dans l'onglet du Hasard.
La Belle Fleur était à l'origine en bois, puis s'est modernisé avec le temps en revêtant une structure métallique.
C'est une belle petite machine d'extraction à bobine.
On peut voir que l'un des poussards rentre directement à l'intérieur du bâtiment d'extraction.
Les leviers servent au machiniste pour la descente ou la remontée de la cage dans le puits.
Cette plaque "Hasard" servait à marquer les briquettes.
Nous allons voir maintenant la mise à terril.
Lors de la modernisation des installations, c'est l'apparition des douches avec cabines individuelles, elles sont alimentées par un système de récupération des eaux contenu dans un réservoir.
Charbonnage du bois de Micheroux
Il n'y a qu'un seul puits pour ce charbonnage. Cette concession était totalement enclavée par la concession du Hasard de Micheroux.
Charbonnages du Hasard
La tombe indique : HASBB : Hasard Bas Bois, PE 570 m, 1971.
Puits Guillaume, puits d'extraction et retour d'air, fraîchement posée fin 2014.
Il s'agit du siège de Micheroux. Le puits Vieux Bure et Grand Bure sont les puits les plus profond du bassin (-913m). La dalle du puits de retour d'air est en train d'être posée.
Le puits Saint Charles va enfin avoir une vraie tombe, celle du Saint Anne est en train de subir de nouveaux travaux.
Ces puits font partie du siège de Cheratte. Les puits 1/2/3 sont visibles ici Charbonnage de Cheratte
Le puits de ventilation à Housse indique 32.60m 1976
Le puits Rabosée est perdu en pleine forêt, il a été un peu difficile de le retrouver, néanmoins le puits indique 62m78 1961.
Il s'agit du siège de Melen. Quand on vous dit que les puits sont parfois difficile à retrouver : celle du retour d'air, il s'agit de trouver un bout de caillou dans un champ immense non défriché et partiellement enterrée, une véritable partie de plaisir, notamment sous la pluie. Pas de chance la tombe est cassée.
Ce charbonnage est acquis en 1930 par la société du Hasard, c'est la seule concession se situant de ce côté de la Meuse, à Herstal. Ce charbonnage était composé de deux puits, la mise à terril s'effectuait de l'autre côté de la ligne de chemin de fer par le biais d'un passage sous la ligne. Le bâtiment qui accueillait la machinerie du skip, est toujours présent avec l'année 1923 marquée au fronton. Ce terril de Belle-Vue est mitoyen du terril de Bernalmont (Concession de la Grande et de la Petite Bacnure)
Le tunnel fait 1km, il est daté du 21 Avril 1857.
Charbonnage d'Ougrée-Marihaye
Il s'agit des anciens puits d'extraction du siège Vieille Marihaye (194204-194205) et de son puits d'aérage (194203).
Ce bâtiment est le seul vestige d'époque du charbonnage.
Charbonnage de Werister
A Romséee il existe déjà plusieurs petites houillères, mais c'est en 1827 que la houillère de Werister se démarque, en absorbant la concession Nooz-Donné et s'agrandit. Il faut attendre 1874 pour voir la création de la Société Anonyme des charbonnages de Werister.
En 1879 on installe une fabrique de boulets, destiné à l'usage domestique, puis une fabrique de briquettes avec marque déposée "W". Au fil des fusions et absorptions le charbonnage s'agrandit, la concession atteindra jusqu'à 4897 hectares en 1958.
En 1937 la production annuelle est de 620 000 tonnes de charbon, avec plus de 2000 mineurs. En 1967 le charbonnage est fermé.
Le bâtiment des Bureaux date de 1926. Après la fermeture du charbonnage, le site a été reconverti en plusieurs entreprises, aujourd'hui il accueille des PME.
A ce jour il nous manque uniquement le puits 1 qui n'est pas bien localisé, pas très accessible.
Les autres puits de Werister
Merci à Xavier Fer pour la photo du puits Croix Rouge.
Nous ne sommes pas très sûrs de la localisation pour le puits 1.
Quelques mot sur les autres puits : le puits Gerard se trouve chez un revendeur automobile, Bure des Areines : pas trouvé.
Charbonnage de l'Arbre Saint Michel
Les stations de démergement
Généralités
Le mot démergement n'existait pas il a fallu l'inventer. On peut le définir par l'action de remise à sec de ce qui était submergé.
Aujourd'hui cette action est également préventive et élargie à toutes causes pouvant provoquer des inondations.
Le démergement est principalement lié au développement de l'industrie houillère dans la région. Les principales causes d'inondations sont dues au déhouillement des veines non remblayées. L'effondrement des vides, à déclenché l'affaissement petit à petit (entre et 5 et 10cm/an) des terrains de surface durant des années, provoquant en amont et en aval de Liège d'immenses dépressions de 4 à 12m en moyenne, non négligeables.
Le réel danger réside dans le fait que le niveau de la Meuse est resté inchangé à Liège (ou le charbon n'a pas été exploité) mais que les points les plus bas de la vallée risquent d'être inondés continuellement (crue hivernale de 1925-1926). Un projet est alors mené par Hector Biefnot (1869-1936), directeur des travaux de la ville de Seraing, qui se nomme : le démergement. Son système d'évacuation des eaux est relayé en 1928 par la création d'une intercommunale appelée AIDE (Association Intercommunale pour le Démergement et l'Epuration) regroupant les principales communes touchées.
Ces communes sont :
- En amont de liège
- Rive gauche : Flemalle, Jemeppe, Tilleur, Sclessin
- Rive droite : Seraing, Yvoz-Ramet, Angleur
- En aval de Liège
- Rive gauche :Herstal, Vivegnis
- Rive droite : Jupille, Wandre, Cheratte
Mais outre ces communes publiques, chaque usine d'ordre privée, disposait également de sa propre installation de pompes mais dés lors où celle-ci est démantelée ou disparaît totalement, il revient à l'AIDE de démerger la zone, d'où la création de nouvelles stations.
Principes
La mise en route d'une station est dépendante du niveau de la Meuse. Le débit d'étiage est de 30 à 50m³/s. En temps normal à Seraing, le niveau de la Meuse est de 60m, à Angleur le niveau de l'Ourthe est de 59,50m à 60m. Depuis 1928 le niveau et débit du fleuve sont enregistrés. Les principales crues ont été enregistrées en : 1880, 1926, 1994.
Le démergement s'articule sur trois principes :
- - L'évacuation des eaux de ruissellement des collines et des plateaux directement vers la Meuse.
Celle-ci s'effectue en canalisations (exutoires) vers des collecteurs gravitairement. Tous ces exutoires sont doublés. Ils sont au nombre de 5 en amont de Liège et 6 en aval. Les collecteurs sont aussi équipés de déversoirs à orage qui permettent de stocker une partie des pluies d'orage. Il y en a 11.
- - L'évacuation des eaux de plaine.
Les eaux de plaine sont constituées des eaux de pluie, des eaux usées et les eaux d'infiltration de la nappe dans les caves. Ce système prévoit deux réseaux de collecteurs distincts :
- Le réseau supérieur : collecte les eaux de pluie et usées par les égouts sous la voirie par gravité. En temps normal les eaux s'écoulent vers la Meuse, en temps de crue, les eaux sont déviées dans les puisards de stations de pompages principales et le refoulement au fleuve est fermée par des vannes. La station assure alors le refoulement de ces eaux vers le cours d'eau plus tard.
- Le réseau inférieur : collecte les eaux de la nappe phréatique (donc au plus bas) et les redirigent vers les puisards de stations de pompage secondaires et les relèvent en permanence dans le collecteur supérieur de la station principale.
- - Le remblayage de la plaine
Là où les terrains le permettent, c'est à dire vide et avant construction, il est question de les surélever pour atteindre le niveau maximum de crue. Les eaux circulent alors par des exutoires de plaine, et rejoignent la Meuse, sans pompage.
Dispositions
Chaque station construite doit faire face à plusieurs risques : aux mouvements de terrains et à la pression de la nappe. Pour cela les stations sont généralement formé d'un seul bâtiment monobloc construits en béton armé et ne possède aucune communication avec l'extérieur, en dessous du niveau de crue. L'accès à une majorité des stations sont d'ailleurs équipés d'escaliers extérieurs ou s'effectue au dessus de la voirie.
"L'exemple le plus significatif est celui de la station 01 à Wandre. En cinq ans, cet ouvrage est descendu de 1,90m en s'inclinant alternativement dans toutes les directions. Le bâtiment est toujours demeuré intact alors que les immeubles voisins ainsi que les abords immédiats de la station ont été sérieusement endommagés."
En amont de Liège, chaque station est équipé de puisards sous plancher et d'un groupe de motopompes (en général 6 pompes et 2 en réserve). Chaque pompe dispose d'une conduite d'aspiration relié à un puisard et de sa conduite de refoulement. Les pompes sont amorcées par une installation par le vide.
A cette fin, chaque station est munie d'une double installation. Pour éviter qu'une fois le vide obtenu, l'eau, qui remplit immanquablement le circuit d'aspiration d'air, n'atteigne les machines à vide, les tuyauteries en double circuit s'élèvent dans la tourelle à chaque station fonctionnant selon ce principe.
A l'intérieur de la station, les conduites de refoulement s'élèvent, en col de cygne, à un niveau qui restera supérieur, même après tous les affaissement miniers, à celui du fleuve en cru séculaire."
En aval de Liège, les puisards sont situés à côté des motopompes et sont amorcées gravitairement. de ce fait il n'y a pas de tourelle et les installation se mettent en marche automatiquement et ne nécessitant pas de personnel.
Les stations de pompages secondaires sont plus petites et ne disposent en général que de deux pompes et deux puisards (une en secours) mais s'enfoncent plus profondément pour atteindre la nappe. Les pompes sont amorcées par la montée des eaux dans le puisard.
Patrimoine
Les édifices sont construits sur trois grandes périodes :
- Les années 1930
Il s'agit des premiers ouvrages, souvent d'aspect assez brut, et caractérisé par des formes simples ponctué par quelques détails décoratifs comme les tourelles, la nomination ou la ferronnerie.
- Les années 1940-1950
Le béton se camoufle derrière des murs de briques de briques rouge et jaune, les bâtiments s'allongent en largeur ou dans la hauteur avec souvent de grandes baies. L'aspect général est très rectiligne.
- Les années 1950 a nos jours
En fonction du type d'amorçage, les tours disparaissent, les stations parallélépipèdes ou cubiques s'intensifient, les soubassements en moellons commencent à apparaître. Seule la station de pompage de Cheratte 1 a été construite après 1990 et plus proche de nous en 2017, la station de Sclessin 21.
Outre les outrages du temps il est a déplorer le vandalisme que peut subir les grandes façades de bâtiment (SP Jemeppe 9, SP Angleur 12)
En amont de Liège il y a 17 stations principales et 13 stations secondaires et en aval 14 stations principales et trois stations de secondaires. Ce qui en fait 44 au total.
210 km de collecteurs, 16 exutoires (10 en amont et 6 en aval) et 25 bassins d'orage.
Sources :
- Sources et données techniques : AIDE
Cette station a été mise en service en 1966. Elle est mise en service lorsque le niveau de l’Ourthe est supérieur à 60,85 m.
Cette station a été mise en service en 1995.
Cette station a été mise en service en 1959.
Cette station a été mise en service en 1966.
Cette station a été mise en service en 1973.
Cette station a été mise en service en 1969. Elle est mise en service lorsque le niveau de la Meuse est supérieur à 57,80 m.
Cette station a été mise en service en 2017.
Elle est mise en service lorsque le niveau de la Meuse est supérieur à 61,30 m.
Cette station a été mise en service en 1978.
Cette station a été mise en service en 1973.
Cette station a été mise en service en 1959.
Cette station a été mise en service en 1988.
Cette station a été mise en service en 1977.
Cette station a été mise en service en 2007.
Cette station a été mise en service en 1968.
Cette station a été mise en service en 2009.